Église du Saint-Sépulcre telle qu’elle était juqu’en 1853, quand fut décidé de refaire le portail. Photo livre de Victor de Beauvillé.
Église du Saint-Sépulcre restaurée, vers 1859. Librairie L. Vallée.
Détail du portail de l’église du Saint-Sépulcre, entre 1900 et 1914. La deuxième statue à gauche se trouve maintenant à l’intérieur de l’église. Archives départementales de la Somme, SPCP, photo Camille Biendiné, cote 35FI808.
Vue du chevet de l’église du Saint-Sépulcre. À droite, les ruines de l’hôtel de ville. Visé Paris n° 511, LL, Lévy Fils et Cie, Paris.
Déblaiement des gravats. Photo Émile. Galland, éditions Paul Fafet.
Le choeur de l’église du Saint-Sépulcre, bien que ruiné, est moins atteint que la nef. LL., Visé Paris n° 504, Lévy Fils et Cie, Paris.
La nef de l’église du Saint-Sépulcre s’est effondrée. Le chœur a été un peu épargné. Photo Émile Galland.
La rue Parmentier a été dégagée mais les amas de pierre ne sont pas encore déblayés. Léon Caron éditeur.
Dans l’église du Saint-Sépulcre en ruines, vue prise de la nef vers le chœur. Photo transmise par Jacques Maçon.
Nef de l’église du Saint-Sépulcre, remplie de décombres. Vue prise en direction des orgues. LL. Photo transmise par Jacques Maçon.
Choeur de l’église du Saint-Sépulcre. Les dix statues des apôtres ont résisté aux bombardements. Photo Ministère de la Culture.
Reconstruction de l’église du Saint-Sépulcre. Photo Marcel Guillot.
Le portail de l’église du Saint-Sépulcre reprend forme.
Photo Marcel Guillot.
La reconstruction de l’église du Saint-Sépulcre est terminée.
La statue de saint Pierre, une des dix statues des apôtres installées dans le chœur.
Chacune des dix statues des apôtres repose sur un socle. Voici la scène de la Nativité sculptée sur la console supportant la statue de Saint André.
Le Christ de pitié, ou Christ aux liens, est la représentation de Jésus attendant son supplice. Il est ici placé devant un encadrement de pierre sur lequel on voit le phénix, le pélican, la salamandre.
Photo Delphine Harel.
Détail montrant deux cigognes, dans la composition sculptée à jour, surmontant le Christ de pitié.
Les fonts baptismaux, en pierre de La Faloise. Très abîmés, ils ne sont plus restaurables. Parmentier y fut baptisé, le jour-même de sa naissance.