Église Saint-Pierre

 

Avant sa destruction, portail de l’église Saint-Pierre. Au trumeau, les statues de Saint-Pierre (en bas) et saint Paul (en haut).

 

Photographiée en juin 1919, l’église Saint-Pierre, ruinée par les bombardements d’août 1918.

 

L’église Saint-Pierre en ruines, en attente de reconstruction.

 

Intérieur de l’église Saint-Pierre en ruines. Vue vers le chœur.

 

Église Saint-Pierre vue de la rue Adrien-de-La-Morlière. Photo Gilliane Toutee.

 

Église Saint-Pierre au coucher du soleil, en août 2022.

Photo Gilliane Toutee.

 

Pose du nouveau coq, le 28 juillet 2018. Photo Anne-Marie Caron.

 

Le long pinacle est timbré de l’écu de France et entouré du collier de l’ordre de Saint-Michel. De part et d’autre, emblème du roi de France Henri II et de la reine Catherine de Médicis. Photo Delphine Harel.

 

Sous l’écu de France, le médaillon de saint Michel terrassant le dragon. Photo Delphine Harel.

 

La façade de l’église possède un riche bestiaire. Dominant la plaine, la gargouille à tête de singe. Photo Anne-Marie Caron.

 

Les fonts baptismaux du XIIe siècle (peut-être même du XIe siècle), en pierre noire de Tournai, sont de style romano-byzantin. Ils ont été classés aux Monuments historiques en 1897.

 

Christ roman du XIIe siècle. Remarquer son allure déhanchée et son long périzonium. Il provient de l’église Notre-Dame du Prieuré, à laquelle il avait été donné par Adrien de Hénencourt, prieur de l’abbaye à la fin du XVe siècle.

 

Groupe sculpté de la Mise au tombeau (environ premier quart du XVIe siècle), classé au titre d’objet en 1907. Deux colonnes cannelées corinthiennes sont reliées par un entablement d’ordre dorique en portion de cercle qui couronne le tombeau.

 

Raoul de Crépy prend Montdidier en 1054. Il meurt en 1074. Ce gisant lui est, sans doute, attribué à tort… Sculpture en pierre datant du premier quart du XIVe siècle, classée au titre d’immeuble en 1920. Photo Delphine Harel.