Maquette de la ville fortifiée, réalisée en 2005, par Philippe Guilbert et Johan Grouard.
Tracé de l’enceinte de Philippe Auguste, sur une photo aérienne de la ville aujourd’hui.
Réalisé par Roland Gardin, en octobre 2019
Montdidier en 1611, d’après un dessin à la plume de Joachim Duwiert.
Construite de brique et pierre, la porte de Paris était décorée des armes de France. Peu large et en pente, son passage était dangereux. Son état de délabrement avancé entraîna sa démolition en 1829.
Emplacement des églises de Montdidier en 1690. Lithographie réalisée par Jehenne, en 1849.
Indication des différents édifices religieux, tours et portes de Montdidier, en 1740.
La porte Becquerel se trouvait dans l’actuelle rue Adrien-de-La-Morlière. Elle permettait de rejoindre la vallée.
La porte Becquerel en hiver peinte par Liliane Patat.
La porte Becquerel aux beaux jours, peinte par Liliane Patat.
Le gond de la porte Becquerel.
Le cheval passe sous la porte Becquerel pour descendre à la rivière des Trois-Doms. Non loin, s’élève la tour Becquerel. Maquette réalisée par Philippe Guilbert et Johan Grouard.
Maquette de la porte Becquerel aux XIe-XIIe siècles. Réalisation Philippe Guilbert et Johan Grouard.
Cette couleuvrine se trouvait dans la tourelle sud de l’église du Saint-Sépulcre et défendait la porte de Paris. Placée près de la tour de l’ancienne salle du roi, elle a, malheureusement, été volée. Photo Mansard.
La couleuvrine avait été installée au point culminant de Montdidier (près du beau tilleul qui sera abattu par la tempête Jorge, le 29 février 2020), dominant les quartiers Becquerel, Saint-Médard et Saint-Martin dans la vallée des Trois-Doms. Photo Mansard.
Vestiges des remparts sur la gauche. Cette partie de la rue de Rouen (actuelle avenue Maurice-Leconte) est tracée sur l’ancien fossé qui entourait l’enceinte fortifiée.